Le party Airbnb à Calgary
Star King, une hôte de Calgary (Alberta) a loué sa copropriété à deux couples en visite pour un mariage. Tard la nuit, la police l’a contactée après avoir reçu des plaintes de nuisance de bruit.
Il s’avère que les couples avaient organisé un gros party après le mariage. Un bus transportant un groupe de fêtards ivres est arrivé à la maison de Star King. Les convives sont descendus sur les lieux et ont abîmé le bois franc, cabossé les murs, détruit les meubles et bloqué la toilette avec des objets qui ne devraient pas être jetés dans une toilette.
King a dû supplier les invités de partir (sans succès vu l’état d’ivresse du groupe). Malheureusement, les dégâts de la fête totalisaient 50 000 $. Résultat : King va bien réfléchir avant de louer sa propriété à nouveau.
Les squatters qui refusaient de payer
En Californie, l’hôte Poonam Sandhu a loué sa propriété à deux locataires qui arrêtaient de payer le loyer après deux semaines seulement.
Pire encore, les locataires manipulaient et utilisaient toutes ses possessions privées, ses vêtements et ses articles de toilette sans autorisation. De plus, la police a été avertie des bagarres entre les locataires. Les locataires ont même ignoré des avis d’éviction : selon les lois californiennes, les invités avaient acquis le statut de locataires. Par conséquent, ils avaient droit à un avis d’éviction de 30 jours.
Sandhu les a persuadés de partir en leur offrant 1 700 $, mais elle a dû payer les frais de réparation des dommages. Tout ça parce que les locataires ont payé en espèces et non par l’intermédiaire de la plateforme en ligne requise par Airbnb.
Quelles sont les leçons à tirer, alors? Il faut toujours lire les petits caractères et vérifier les antécédents des locataires avant de louer une habitation. Si Poonam s’était renseignée, elle aurait découvert que les locataires sont des criminels de carrière qui avaient réussi le même coup contre de nombreuses hôtes naïves, en obtenant un logement et de l’argent de leurs victimes à chaque reprise.
